La place de l’homme

J’ai fait l’essentiel de mon parcours professionnel en entreprise. J’en sors avec quelques convictions.

L’une d’entre elles, est celle de la place des hommes au travail. Soyons honnêtes : dans le bilan de l’entreprise, les salariés pèsent autant dans le passif que dans l’actif. Passif parce qu’avant de produire, l’homme au travail commence par détruire de la valeur. Il vieillit, résiste au changement, met en place des stratégies de  « survie », parfois contre-productives pour la collectivité. Pour lui, l’entreprise est le moyen de vivre dignement, à la fois économiquement et socialement.
Mais aussi actif ultime car l’homme au travail est le seul à se régénérer sans cesse, il est composite, mobile et réactif, le seul aussi à créer de la valeur. Surtout, il est un actif parce qu’il est la finalité de l’activité économique.

Afin d’accompagner l’évolution de toutes les variables qui composent l’entreprise, la GPEC est un outil méthodologique RH permettant d’avoir un coup d’avance. Elle vise à s’intégrer dans la stratégie globale de l’entreprise. Bien menée, une démarche de GPEC intègre l’action, le court et le moyen terme, le pragmatisme. Elle fait sienne l’actualité, l’innovation. Elle excelle quand elle suscite l’adhésion et la participation de tous.

La GPEC est à la fois la boussole et la longue-vue du dirigeant.

Et vous, avez-vous mené une démarche de GPEC dans votre entreprise ?

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